Parcours professionnel de FECHKEUR Hadj Mokadem, le technocrate de formation Par : KAZI Hadj Mahmoud
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Parcours professionnel de FECHKEUR Hadj Mokadem, le technocrate de formation Par : KAZI Hadj Mahmoud
FECHKEUR Mokadem, natif de Laghouat, né le 29 novembre 1937, débuta à l’âge de quatre ans sa scolarité à la mahadra coranique de Messaoudi Si Mohamed fils de l’Imam Si Hadj Amar. A six ans, comme tous les Laghouatis, il fréquenta l’unique école de garçons, et en parallèle, la medersa de l’Association des Oulamas, qui a ouvert ses portes en 1948.
Ses maîtres, les Chouioukhs CHATTA Ahmed et HADJ AISSA Boubakeur lui ont inculqué les premières règles de la grammaire de la langue nationale, les préceptes de l’Islam, surtout la notion du patriotisme de l’amour du Pays.
Après avoir obtenu le certificat d’études, il a rejoint le Lycée d’Oran, pour les études secondaires et supérieures. Vers les années 1955-1956, il a rejoint la France, précisément Paris, pour poursuivre les études universitaires, en pleine période de guerre de libération. Il a fait partie de la Fédération FLN de France. Toujours dans le cadre de ses activités militantes, il a rejoint Tunis. Sous l’égide du FLN, il a obtenu un passeport marocain, avec visa de séjour en Allemagne. C’est dans ce pays, en 1958, qu’il a poursuivi les études technologiques en pétrochimie.
Après avoir décroché le diplôme d’Ingénieur, il a entamé une deuxième phase de formation pour les études approfondies dans le domaine du pétrole.
A l’indépendance de l’Algérie, il a été sollicité par le Ministère de la Défense Nationale, en étroite collaboration du Colonel Aouchiche, pour la création et la mise en activité de l’entreprise de bâtiment DNC. En dernier, il a intégré son corps d’origine, l’exploitation du pétrole, où il a été affecté à l’Institut Algérien du Pétrole « IAP » de Hassi Messaoud.
Jeune, dynamique, persévérant, animé de bonne volonté, il a pu développer à outrance la formation par la création de plusieurs filières. Bon nombre de jeunes ont été formés, pour combler le vide laissé par les étrangers, suite à la nationalisation des sociétés étrangères du pétrole. Je ne peux conclure cet aperçu succinct jalonné par des repères substantiels du parcours du jeune FECHKEUR Mokadem, le seul et unique de sa génération de Laghouat, et un des premiers algériens qui a embrassé la technologie.
Est-ce par hasard, par vocation ou par conviction qu’il a choisi la pétrochimie. Je laisse le lecteur perplexe à méditer sur le cas de Si Hadj Mokadem dans le domaine du pétrole.
Ses maîtres, les Chouioukhs CHATTA Ahmed et HADJ AISSA Boubakeur lui ont inculqué les premières règles de la grammaire de la langue nationale, les préceptes de l’Islam, surtout la notion du patriotisme de l’amour du Pays.
Après avoir obtenu le certificat d’études, il a rejoint le Lycée d’Oran, pour les études secondaires et supérieures. Vers les années 1955-1956, il a rejoint la France, précisément Paris, pour poursuivre les études universitaires, en pleine période de guerre de libération. Il a fait partie de la Fédération FLN de France. Toujours dans le cadre de ses activités militantes, il a rejoint Tunis. Sous l’égide du FLN, il a obtenu un passeport marocain, avec visa de séjour en Allemagne. C’est dans ce pays, en 1958, qu’il a poursuivi les études technologiques en pétrochimie.
Après avoir décroché le diplôme d’Ingénieur, il a entamé une deuxième phase de formation pour les études approfondies dans le domaine du pétrole.
A l’indépendance de l’Algérie, il a été sollicité par le Ministère de la Défense Nationale, en étroite collaboration du Colonel Aouchiche, pour la création et la mise en activité de l’entreprise de bâtiment DNC. En dernier, il a intégré son corps d’origine, l’exploitation du pétrole, où il a été affecté à l’Institut Algérien du Pétrole « IAP » de Hassi Messaoud.
Jeune, dynamique, persévérant, animé de bonne volonté, il a pu développer à outrance la formation par la création de plusieurs filières. Bon nombre de jeunes ont été formés, pour combler le vide laissé par les étrangers, suite à la nationalisation des sociétés étrangères du pétrole. Je ne peux conclure cet aperçu succinct jalonné par des repères substantiels du parcours du jeune FECHKEUR Mokadem, le seul et unique de sa génération de Laghouat, et un des premiers algériens qui a embrassé la technologie.
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